L’année 2020 aura été une année particulière. Très particulière. Depuis mon dernier article, je me demande comment revenir. Ou tout simplement s’il faut revenir.
L’année 2020 aura été une année particulière. Très particulière. Depuis mon dernier article, je me demande comment revenir. Ou tout simplement s’il faut revenir.
A peine les pieds posés sur l’île de Lanzarote qu’on ne peut s’empêcher de remarquer l’influence de César Manrique. Un homme qui s’est battu bec et ongles pour préserver la nature de son île natale.
Dans l’avion, j’épluche encore une fois mon bon vieux guide de voyage. Des marques-pages de couleurs peuplent les pages. C’est mon moment à moi pour me plonger une dernière fois dans la fiction avant d’avoir la réalité devant les yeux.
Du sable, des cailloux, de la poussière et du vent. C’est comme ça qu’on pourrait résumer le GR131 qui traverse Fuerteventura dans les Iles Canaries. On vous emmène pour huit jours de marche à travers les montagnes de l’île où le vent ne s’arrête jamais de souffler.
Parfois nous avons des idées un peu stupides comme aller faire du camping alors qu’ils ont annoncé une nuit orageuse. Il n’y a pas un dicton anglais qui dit “no risk, no fun” ? Alors avec nos sacs à dos et notre petit four à raclette (un must have), nous sommes partis à l’assaut des célèbres 14 contours menant au magnifique Creux-du-Van.
Nous allons vous le dire d’entrée: ce voyage est le fruit du hasard et d’un petit coup de chance. Un jour, au détour d’une blague au travail, je reçois une invitation. Une dose de courage plus tard, nous nous sommes retrouvés en Normandie avec un passionné à la gentillesse infinie.
Welcome to New York! Une ville démesurée, fascinante mais tellement énervante aussi. La course au building le plus haut, le plus beau, la ville respire a un rythme effréné sans jamais s’arrêter.
Un weekend comme on les aime. Nous sommes partis à l’assaut de la Trifthütte, une cabane du Club alpin suisse (CAS) située au cœur du Susten, du Grimsel et de la Furka. Vous savez, ces montagnes qu’on appelle les 4 fantastiques avec Raphaël. Même s’il manque le Gothard pour qu’elles soient au complet, la balade est à couper le souffle.
Le Norseman est réputé être un des triathlons les plus difficiles du monde. Pas en raison des kilomètres parcourus (3,6 km de natation, 180 km de vélo et un marathon) mais à cause des conditions climatiques dantesques que les participants doivent surmonter pour arriver à la fin de cette course. En plus, seuls les 160 premiers athlètes sont autorisés à gravir le Gaustatoppen et à revêtir le célèbre t-shirt noir que tous convoitent.
Si j’ai bien appris une chose, depuis ces quelques années de randonnées, c’est que si tu commences à monter en télécabine, tu vas bien finir par le payer à un moment ou à un autre. Cette balade sur les hauteurs de Grindelwald n’a pas été l’exception et mes jambes s’en souviennent encore. Sans rancune, c’était magnifique!